Choix des heros

allé c'est parti pour mon premier auto casse-gueule en public : je voudrai revenir sur le dossier excellent traitant de la nat. antidéterministe du héros auquel j'aimerai ajouté mon avis. En effet je pense que si le heros ne peut pas revenir a sa vie d'avant (je cite )

Citation :

impossibilité de retour

il existe un 'type' de heros dontl e choix de partir a l'aventure lui est imposé la plupart du temps (mais pas pour tous enfin je crois, j'ai pas réfléchi a un contre-exemple je compte sur vous pour sa ^^). pour illustrer cette idée je vais parler de Jim de 28 jours. Avec lui on comprend rapidement que le choix peu etre forcé.
Imaginez-vous vous réveillant dans un "london" vide, avec pour seul voisin des 'enragées' (des zombies animés plus par la haine que par la faim qui courent), vous n'avez pas d'autres choix que de fuir et de trouver un moyen de vous en sortir. Bien sur en fait il y a un choix dans ce films ( et bien entendu dans ce GENRE de films ) entre vivre mais affrontez des obstacles plus que laborieux, ou bien mourir mais cela reviendrai (est?) a du suicide.J'en conclue que le choix est plus forcé que celui de laventurier qui peut rester a la maison, mais celui-ci peu avoir des circonstances : est ce que l'un d'entre vous imagine Clad dire lorsqu'il découvre que c'est Séphiroth/Jénova qui a tué le chef de la shindra et que l'aventure commence vraiment
"Ha non les gars c'est sans moi : jme fait une bière, un suppo et au lit y'a téléfoot a la télé demain-matin!!"
... non pas vraiment ^^. Les liens entre Sephi et Clad vont "obligé" celui ci a partir a sa recherche.Redevenir le SOLDAT errant lui est impossible, les souvenirs se bousculant dans sa tete. Je marrete la pour FF7 sa fait quand meme Longtemp que je n'y est pas touché je risque (si ce n'est pas fait) de dire une connerie. Un autre exemple me vien a l'esprit : Spiderman le plus humain des heros.Il suffit de voir le 2 où pendant un moment il décide de ne plus etre un super héros et pourtant un évènement l'oblige a reprendre le costume (d'ailleur notons que Peter s'est fait mordre par une araignée : on ne peut pas dire qu'il la voulu).
Je m'avance aussi a dire que le choix de porter l'anneaux a Frodon n'est pas si "libre": meme si un coté de lui ne souhaite que rentrer a la maison( c'est un hobbit quand meme), l'appel de l'anneaux l'emporte.
Pour conclure je dirai donc que oui le heros a un choix mais que ce choix n'est pas si libre que sa (plus ou moins selon les genres je pense) mais que ce sont ces choix imposés qui feront du personnage un heros ainsi que les défits qui se présenterons sur sa route....
Voila j'espere ne pas mettre trop embrouillé et ne pas etre trop ennuyeux meme je sui content de moi alors hop je post et si sa a plue a certains(bocoup??) je penseré peut etre a parlé des choix des 'super-méchant-vilain'!!

souvent le héros commence une quête à caractère personnel de son propre chef mais par la force des choses se retrouve mêlé à quelque chose de bien + important impliquant le sort de la Terre etc., mais à la base son aventure a commencé pour un objectif personnel; exemple : Arc de Arc the Lad qui veut retrouver son père et qui se retrouve embarqué dans une quête pour sauver la planète (bien que son but originel soit toujours présent).

néo qui veut se sauver d'un monde et decouvre qu'il doit sauver "le" monde pour se sauver


wwwauohhh il y a trop de "sauver"

(Faudrait pas déplacer ce sujet ?...)

Il y a toujours un élément déclencheur dans l'histoire du héros, ainsi que des lieux communs ; déjà dans la Bible ou dans la littérature du Moyen-Âge français, la femme est l'un des éléments déclencheurs principaux de la quête du héros : Eve invite Adam à goûter au fruit interdit, la princesse du Moyen-Âge met au défi le preux chevalier... Bref, ce sont les causes de bien des malheurs qui arrivent (comme Marie-Madeleine avec Jesus, Guenièvre avec Lancelot et Arthur, etc).

Par la suite, il existe tout le temps un lieu à connotation mystique dissimulant en son sein un lourd secret qui change définitivement le Destin de celui qui le foule. Souvent, ce lieu est un bois, là où l'on voit sans être vu. C'est l'exemple de non-retour le plus classique dans la littérature (les autres exemples de Selami étaient forts bien choisis dans son article).

Aujourd'hui, la fond reste le même mais on change juste la forme. Maintenant, c'est une princesse qui nous demande d'aller chercher une épée dans le trou du Q de Merlin dans les RPGs...

Ces codes ont fini par être utilisés de manière inconsciente.